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Question

Bonjour j’ai des questions sur la poésie suivante de Nicolas Boileau L’Art poétique à rendre

Sans la langue, en un mot,
l’auteur le plus divin
Est toujours, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain.
Travailler à loisir, quelque ordre qui vous presse,
Et je vous piquez point d’une folle vitesse.
Un style si rapide , et qui court en rimant.
Marque moins trop d’esprit que peu de jugement.
J’aime mieux un ruisseau , qui, sur la molle arène ,
Dans un pré plein de fleurs lentement se promène ,
Qu’un torrent déborde, qui, d’un cours orageux,
Roule , plein de gravier , sur un terrain fangeux.
Hâtez vous lentement; et, sans perdre courage,
Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage.

Les questions sont lui suivant:
1-de quoi parle Nicolas Boileau dans ce poème ? Tu expliquera en deux ou trois phrase en relevant des vers dû poèmes.
2- quelle est la position de N.B dans ce poème ? Tu l’exprimera en une phrase explicite.
3- relève une métaphore dans ce poème, en citant précisément sa ligne. Tu indiquera le sens de cette métaphore.
4-l'image du dernier vers est empruntée au lexique de l’artisanat. En quoi cette image coïncide-t-elle avec le projet de l’auteur , de Nicolas Boileau ?
5- tu montreras en quoi ce poème est représentatif de la doctrine classique en deux paragraphes argumentés. Minimum 10 lignes. Avec des alinéas au début de chaque phrase.

Si quelqu’un peut m’aider svp

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